7 mai 2008
CHAMPS DE MARS
J’aime les beaux ombrages
Des champs de mars
Quand leurs tendres feuilles
Bousculent mes inspirations.
Le poète, loin de sa demeure
Vient ici toiser l’universalité,
Scruter au loin ce mars
Planète au printemps verdoyant.
Y vivra-t-on comme on le pense ?
Et pourquoi pas, mes amis
Puisque la Science se bat
Sans ignorer l’illusion de sa conscience.
Au champs de mars
Chant d’honneur, champs de bataille
Nos cœurs s’épanouissent
Malgré la déclivité du soleil.
Derrière la fêlure du temps
Dont la petite trace écrase
L’espace qui monte
Voilà le champ de mars.
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